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:: lundi, novembre 15, 2004 ::

Dreams are my reality...


J'ai fait une foule de rêves bizarres, cette nuit. Entre autres, je déménageais, tard le soir, avec seulement mon père. Je lui disais qu'on n'aurait jamais le temps, mais il était persuadé du contraire. J'emménageais dans une énorme maison, en ville mais au calme, avec d'autres personnes. Je pense que nous étions quatre. Les chambres étaient énormes! Quelqu'un est venu me rendre visite ce soir-là, mais je lui disais qu'il y avait une fuite d'eau, que l'on ne pouvait donc pas encore y vivre. A mettre en lien avec l'appartement dans lequel je vais probablement emménager, plus grand que mon ancien kot, mais toujours en construction?
J'ai également rêvé que j'allais m'inscrire pour recommencer des études, avec ma mère cette fois, mais nous sommes montées dans deux ascenseurs différents, et pas moyen de se retrouver au même étage. Puis l'ascenseur dans lequel j'étais est devenu fou, il ballotait dans tous les sens, pourtant nous étions relativement calmes à l'intérieur.
Finalement, nous sommes arrivés sur une grande place, et je me suis retrouvée assise sur le trottoir avec Sylvie. Je venais de voir G, au loin, avec sa compagne, qui me paraissait fort jeune. Il l'a regardée avec un regard qui ferait fondre n'importe qui. J'étais contrariée, dans mon rêve, mais pas malheureuse. Contrariée de le revoir, alors que j'avais tiré un trait sur cette personne. Comme si ce fait entraînait de facto qu'on ne se rencontre plus jamais, même par hasard. Bref, il s'est approché, sa compagne est allée s'asseoir plus loin, pendant qu'il nous tendait, à Sylvie et moi, un cadeau de Noël. Sylvie s'est empressée de l'ouvrir, et parlait avec lui de ce que c'était (une reproduction d'une oeuvre d'un type connu, mais je ne saurais plus dire quoi - c'était une sorte de sculpture dont les pièces s'emboîtaient). Moi j'étais incapable de l'ouvrir. Une étiquette était collée sur l'emballage, avec juste écrit "Am ie" en deux parties. J'ai enlevé l'emballage, mais je tournais la boîte dans tous les sens et je lisais toutes les explications qui étaient inscrites sur les côtés, tout en pleurant sans pouvoir m'arrêter. Je sentais qu'il était juste devant moi, accroupi, et qu'il attendait. Mais je ne voulais pas, je ne pouvais pas lever la tête et le voir si près. Je ne voulais pas qu'il voit mes larmes. Je ne voulais pas qu'il pense que c'était de tristesse, car ce n'était pas le cas. Je pleurais tant j'étais touchée par sa gentillesse et sa sollicitude. J'étais touchée qu'il vienne ainsi devant moi, patient, à attendre que je me décide à le regarder. Mais je ne l'ai pas regardé. Peut-être tout simplement parce que je ne connais pas son visage actuel, et que ma pauvre petite tête n'a pas voulu l'inventer... Ni mettre à la place le visage que je connaissais à l'époque où il me souriait.
C'est perturbant. Mais les rêves, c'est souvent comme ça.

:: Asthenie 11/15/2004 09:39:00 AM [+] ::
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