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:: mardi, novembre 09, 2004 ::
Pensées éparses et nouvelles diverses...
Je n'ai pas pu aller voir mon camarade à l'hôpital, ni chez lui. Chaque semaine, je proposais x jours possibles à une amie, mais à chaque fois, elle trouvait une excuse pour annuler. A présent, elle m'a même dit clairement qu'elle pensait qu'il valait mieux juste lui passer un coup de fil. Résultat des courses: j'aurais dû y aller seule, il y a deux mois! Je m'en veux, je lui en veux. Mais cela n'y changera rien. C'est trop tard.
Aujourd'hui, c'est mon père qui est à l'hôpital. Il en est sorti hier, mais y est revenu en urgence ce matin. Pour quelques jours cette fois. C'est étrange de voir cet homme si résistant, si fort, jamais malade, couché dans un lit d'hôpital, pâle de douleur, nerveux, mais à bout de forces. C'est plus qu'étrange, c'est perturbant, effrayant, angoissant, douloureux.
Et la semaine passée, Monsieur le chat passait sur le billard pour une tumeur cancéreuse... Il a une grosse tirette sur le flanc... Et en bonne infirmière que je suis, je le tartine de crème (du moins j'essaye) au moins une fois par jour...
Vous n'en avez rien à foutre, de tout cela, n'est-ce pas?
Et puis j'ai pas de boulot, je sais pas ce que je vais faire de ma vie, je dois décider si je veux faire cette formation supplémentaire qui commence en décembre (et qui coûte plus cher que mes cinq années d'études complètes - le minerval, je parle), et je ne sais même pas si je suis sûre de le vouloir vraiment...
Paumée, la fille.
Je voudrais m'asseoir et ne plus penser.
:: Asthenie 11/09/2004 09:17:00 PM [+] ::
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